Et si j'avais les mots qu'il faut pour accrocher les images...
[l'amertume du dimanche]
--> l'estomac me brûle mais pourtant demain c'est férié
(c'est une bonne question mais moi non plus je n'en sais rien...)
Le ciel est blanc gris. La pluie tombe tombe tombe. Les lumières se font plus douces et plus chaleureuses.
Les roues des rares voitures pataugent dans l'eau.
Et William Sheller chante de sa voix douce, il s'accorde parfaitement avec la pluie.
Ce moment est simplissime, et simplement beau. Et je suis simplement triste.
Nos deux jours ensoleillés passés à Paris me reviennent doucement, les sourires, les moments juste biens, l'émotion qui me monte aux joues, qui me fait (un peu) trembler les mains, qui fait battre mon coeur (un peu) plus fort, les sourires et les regards pleins de soutien, pleins d'affection, le champagne qui fait chaud dans la gorge, le soleil qui rend tout plus joli, la place des Ternes qui fourmille de fleurs (trop chères mais peu importe), l'autocollant visiteur sur nos vestes, l'escalier et le tapis rouge, et puis les roses jaunes, le drôle de bruit du métro, la tour eiffel, si grande, si belle, le portail bleu, la maison, la housse de couette avec des petites étoiles, le jus d'orange pressé, les champs élysées, le huit à huit, le jardin des tuileries, Valérie, le soleil, les galeries lafayettes, la gare, Alice Taglioni, le train, et c'est fini.
J'ai pas envie d'en parler comme j'en parle d'habitude, pas envie de tout raconter dans les moindres détails, y'a William Sheller qui chante et moi j'arrive pas à bien écrire (mais c'est pas de sa faute).
Les roues des rares voitures pataugent dans l'eau.
Et William Sheller chante de sa voix douce, il s'accorde parfaitement avec la pluie.
Ce moment est simplissime, et simplement beau. Et je suis simplement triste.
Nos deux jours ensoleillés passés à Paris me reviennent doucement, les sourires, les moments juste biens, l'émotion qui me monte aux joues, qui me fait (un peu) trembler les mains, qui fait battre mon coeur (un peu) plus fort, les sourires et les regards pleins de soutien, pleins d'affection, le champagne qui fait chaud dans la gorge, le soleil qui rend tout plus joli, la place des Ternes qui fourmille de fleurs (trop chères mais peu importe), l'autocollant visiteur sur nos vestes, l'escalier et le tapis rouge, et puis les roses jaunes, le drôle de bruit du métro, la tour eiffel, si grande, si belle, le portail bleu, la maison, la housse de couette avec des petites étoiles, le jus d'orange pressé, les champs élysées, le huit à huit, le jardin des tuileries, Valérie, le soleil, les galeries lafayettes, la gare, Alice Taglioni, le train, et c'est fini.
J'ai pas envie d'en parler comme j'en parle d'habitude, pas envie de tout raconter dans les moindres détails, y'a William Sheller qui chante et moi j'arrive pas à bien écrire (mais c'est pas de sa faute).
Ecrit par rafaelle-, le Dimanche 30 Avril 2006, 16:30 dans la rubrique Quand la lune prend la place....
Commentaires :
Tout qui paraît désagréable, fade, d'un coup, oui, on connait tous ça, ca s'apelle le retour des vacances... De passer des jours de bonheur et de retomber dans la routine qui nous fais parfois souffrir, ca déchire le flanc...
Bisz
Bisz
et-alors
Moi non plus j'ai pas envie d'écrire. J'y repense et je souris, j'ai pleins pleins d'images et de sons qui reviennent mais j'ai envie de les garder là haut dans ma tête.
En tout cas je suis très heureuse d'avoir passé ces deux jours avec toi ( et mes parents on été épatés de savoir tout ce qu'on a fait et qui on a rencontré ) :D